mardi 16 décembre 2014

Le marché du textile en Asie reste totalement mondialisé

Le marché du textile en Asie reste totalement mondialisé

Etant l’une des industries les plus anciennes au monde, celle du textile reste actuellement mondialisée notamment en Asie. La suppression des quotas a récemment changé la donne en ce qui concerne les rapports de force des pays spécialisés asiatiques, ce qui a grandement profité à la Chine. Le quasi monopole du secteur est détenu par ces pays, dont la Chine et leur politique de développement compte bien affirmer leur statut de leader incontesté encore pour un certain nombre d’années.

Comment se présente le marché du textile en Asie actuellement ?


Le marché du textile en Asie ne représente pas moins de 80% des exportations mondiales actuellement. C’est dans ce contexte que s’ajoute des faits contribuant à renforcer la position actuelle de ces pays asiatiques sur ce secteur. En premier lieu, il a été constaté une hausse importante du nombre de grandes surfaces, des chaînes spécialisées ainsi que des délocalisations industrielles vers des pays à très faible cout en ce qui concerne la main d’œuvre alors que ce fut durant les années 60 que ces nouveaux centres de production asiatiques furent leur apparition. Ils ont par la suite évolués pour devenir l’actuel centre de production de l’industrie textile actuel en Asie. Les centres asiatiques les plus importants du secteur se situent à Hong Kong, en Chine, à Taiwan, en Corée et en Birmanie.

Quelles sont les perspectives de développement du textile en Asie ?

C’est dans ce contexte économique florissant et changeant que l’industrie du textile d’Asie compte se tourner vers une politique de développement innovante. Le pays qui servira de vitrine à cet objectif est encore et toujours la Chine. En effet, et en moins de 10 ans, l’Empire du milieu est devenu un acteur important du secteur mondial et possède un atout maître à cela : sa complète chaîne de production. Cette spécificité permet au pays de se positionner comme étant le plus grand exportateur mondial de vêtements dans toute l’Asie du Sud Est. Mais la plus grande innovation attendue de la part de géant asiatique reste la délocalisation de ses activités. En effet, sa politique de développement consiste à s’externaliser vers des pays au moindre coût de main d’œuvre et du point de vue des loyers , comme la Birmanie et le Cambodge, afin d’optimiser le travail face à des commandes qui ne cessent d’augmenter de la part des représentants d’autres continents. Face à cette mesure, les analystes parlent de mener une politique de restructuration et de modernisation de l’industrie textile tout en créant de la valeur ajoutée avec la création de leurs propres marques de vêtements.

Voir aussi :

mardi 9 décembre 2014

E-Commerce, comment percer en Chine ?

E-Commerce, comment percer en Chine ?

Faire du e-commerce transfrontalier selon une enquête de Daxue Consulting

A titre d’ information ,  NTT communication est  un  fournisseur de  service  de conseil , de Cloud ,  d‘architecture et   de sécurité .Son  but est  de tirer  le meilleur parti possible du    monde  des  TIC   ( Technologies d’Informations et des Communications  ) des  sociétés. Les  offres de la NTT  communications sont épaulées   par  un   ensemble  d’installations fixes  qui  inclut un réseau  global  IP internet  de première classe,  un réseau VPN arcstarUniversal   One   (  TM ) ,  et   qui implique  plus de 150  centres de données  securisés et  190 pays du globe. Les  capacités planétaires des entreprises de  la  firme NTT comme Dimension  Data ,  NTT DoCoMo  et  NTT DATA ,  sont   un  support  considérable des  services de la NTT communications.
Sur le marché asiatique, la vente de boutiques en ligne par l’e-commerçant européen ou américain ne considère pas la langue comme un obstacle primordial.Le directeur e-commerce France Philippe Benizryaffirme que les e-commerçants européen et américainsont en train de se confronter àdes défis afin de tirerbénéfice du prochain plus grand marché de l’e-commerce du monde.
Il est évident que l’e-commerce est en train de se développer en Chine.Vers l’an 2020, la suprématie américaine sera dépassée par la Chine et les pays d’Asie Pacifique, ces derniers peuvent atteindre jusqu’à 525 milliards de dollars. Dès cette année, le site KPMGprévoit que le commerce chinois en ligne sera plus marquant que celui des pays de l’Union Européenne dont l’Allemagne, la France, et l’Angleterre ainsi qu’en Amérique du Nord à savoir les Etats-Unis mais aussi au pays du soleil levant c'est-à-dire le Japon.Selon une enquête que nous avons faite, 80 % des e-commerçants visentà se développer en Asie pendant les 12 mois qui viennent.
Les e-commerçants français pensent avoir une énorme occasion d’avancer dans le marché. Toutefois, il semblerait qu’il soit assez difficile de percer dans le secteur de l’e-commerce en Asie, notamment en Chine.Jusqu’à maintenant, le marché de l’e-commerce reste néanmoins primordial mais selon les décideurs de l’enquête, il est quelque peu ardu de s’avancer dans ce secteur quoiqu’en Chine, le gouvernement est en train de simplifier le commerce en ligne en privilégiant l’hébergement de sites en dehors de la Chine.
La moitié des personnes interviewées pensent que le respect des règlementations est le problème principal.Il est perçu comme un réel défi pour divers secteurs d’activité tels que la cosmétique, la nourriture et les boissons de comprendre et d’appliquer ces règlements.Tousles services et marchandisesdes entreprises doivent être déclarés avec les autorités locales et doivent aussi avoir des approbations avant d’être vendus, surtout vu l’accroissement des régimes de taxe. Mais aussi, il faut aussi  comprendre tous les marchés locaux pour 43 % des répondants ainsi que les problèmes linguistiques pour 41 %.
Cependant, ce challenge n’est pas spécifique à l’e-commerce tel que les paiements en ligne ainsi que les règles transfrontaliers, et notre étude les dénonce.
Prenant comme exemple la domination du marché en Chine par un grand nombre de moyens de paiement locaux tels que Alipay et Tenpay, mais les paiements habituels comme VISA, MASTER CARD ou bien AMEX ne sont pas très employés des clients chinois.Il est alors nécessaire d’introduire ces modes de paiement particuliers dans les plateformes de commerce en ligne, ainsi que de tirer profit des taux de changes de devises, par exemple du renminbi (RMB) vers la monnaie du commerçant en ligne.
39% des interviewésqualifient les règles transfrontalièrescomme compliquées. Ainsi, nos décideurs supposent que les sites de paiement sont les meilleures solutions pour réussir dans le secteur.Pour 45%, la manière dont on cueille et transmet les flux financiers en passant par les organismes spécialisés chinois, c’est-à-dire la correspondance en ligne avec les consommateurs chinois est la cause principale de réussite dans l’e-commerce. Pour 43%, cette correspondance est suivie par la gestion du risque et de la lutte contre la fraude. Connaitre largement le marché local et avoir de bons rapports avec les banques et les réseaux de paiement diminuent davantage les risques de fraude.
Toutes ces déductions, au début,ont amené les e-commerçants à choisir les galeries commerciales en ligne telles que T-matt et Sahngpin pour travailler. Ces dernières offrent  toutes sortes de sites de vente en ligne incluant les services de paiement. Les difficultés de l’e-commerçant sont mieux apaisées par la présence de ces galeries. Néanmoins, les problèmes qui se posent encore se font sur le lien avec la marque de son entreprise, le degré de fidélité et la maîtrise de l’expérience-client. Tout cela ne montre aucunement le meilleur moyen d’établir un bonéchange avec les clients.
Les e-commerçants ont obligatoirement besoin de dominer leurs sites respectifs pour renforcer leur marque sur le secteur du commerce en ligne, et ont aussi besoin de dépendre sur des fournisseurs de solutions en ligne concernant ce secteur et de solutions de paiement doté d’excellentes capacités de chaque côté des frontières tel que la nouvelle Muraille de Chine.
Connaitre les marchés locaux et les risques de vente ainsi qu’avoir de bonnes relations avec les consommateurs locaux demeurent le meilleur moyen de rester dans la compétition avec les concurrents locaux et de défendre sa marque.


mardi 2 décembre 2014

Les réseaux sociaux attirent plus d’internautes en Chinois en 2014

Les réseaux sociaux attirent plus d’internautes en Chinois en 2014


L’accès  à internet est en une importante augmentation en Chine aujourd’hui, elle comte plus de 600 millions d’internautes. L’utilisation des réseaux sociaux a explosé grâce aux présences de tablettes et des Smartphones dans le pays de l’Empire du milieu.
Par contre, la notion de censure existe encore dans le Web chinois notamment le « great  firewall ».  Les sites pour se passer des censures ont été fermés comme le VPN (Virtuel private Network).
Les réseaux sociaux occidentaux n’ont pas leur popularité en Chine car elle a ses propres réseaux sociaux  et applications.  La statistique de personnes ayant un compte sur les réseaux sociaux en chine est supérieure que celles des Etats unis.
La connexion internet est presque devenue une habitude dans la vie quotidienne des chinois  sans parler de la popularité des applications    mobiles.

Le géant des réseaux sociaux chinois est Weibo

Le site a été créé en 2009  par Sina et rassemble plus de 500  millions  d’utilisateurs. Le nom Weibo signifie micro-blogging en chinois. C’est une fusion de Twitter et facebook et les  applications et les fonctionnalités sont les mêmes que ces  deux géant  occidentaux. Les Chinois préfèrent généralement Internet que les medias traditionnels pour récolter des informations. Cependant, Weibo n’est pas épargné des censures mais le contournement est parfois sans difficulté.

Zoom sur le site Wechat, création de Tencent


L’un des géants du Web chinois est Wechat avec un chiffre d’affaire de plus de 7 milliards de dollars en 2012. C’est un réseau social privé ayant 400 millions de partisans dans le monde  dont  240 millions en chine. C’est l’application de communication le plus appréciée en Chine. A différencier de Weibo, le partage d’information ne peut se faire qu’avec des gens qui se connaissent.

Qzone, le msn chinois

Le site aussi a été créé par Tencent, ce réseau social consiste à la rédaction des blogs, de partager et envoyer des photos, de tenir un journal ou d’écouter de la musique. Il a 600 millions d’utilisateurs et en deuxième position sur la classe des réseaux sociaux sur le taux de partage.

Lien entre les réseaux sociaux et les grandes marques

Pour attirer le plus de personne et se présenter sur la toile chinoise, les entreprises de grandes marques utilisent aussi les réseaux sociaux pour y arriver à leur fin en créant un profil sur les diverses réseaux sociaux. Ce principe porte se fruits grâce à l’essor de l’e-commerce  ces dernières années.