E-Commerce, comment percer en Chine ?
Faire du e-commerce transfrontalier selon une enquête de Daxue
Consulting
A titre d’
information , NTT communication est un fournisseur
de service de conseil , de Cloud , d‘architecture et de sécurité .Son but est
de tirer le meilleur parti
possible du monde des TIC ( Technologies d’Informations et des
Communications ) des sociétés. Les
offres de la NTT communications
sont épaulées par un ensemble d’installations fixes qui
inclut un réseau global IP internet
de première classe, un réseau VPN
arcstarUniversal One ( TM
) , et
qui implique plus de 150 centres de données securisés et
190 pays du globe. Les capacités planétaires
des entreprises de la firme NTT comme Dimension Data ,
NTT DoCoMo et NTT DATA ,
sont un support
considérable des services de la
NTT communications.
Sur le marché
asiatique, la vente de boutiques en ligne par l’e-commerçant européen ou
américain ne considère pas la langue comme un obstacle primordial.Le directeur
e-commerce France Philippe Benizryaffirme que les e-commerçants européen et
américainsont en train de se confronter àdes défis afin de tirerbénéfice du
prochain plus grand marché de l’e-commerce du monde.
Il est évident que
l’e-commerce est en train de se développer en Chine.Vers l’an 2020, la
suprématie américaine sera dépassée par la Chine et les pays d’Asie Pacifique,
ces derniers peuvent atteindre jusqu’à 525 milliards de dollars. Dès cette
année, le site KPMGprévoit que le commerce chinois en ligne sera plus marquant
que celui des pays de l’Union Européenne dont l’Allemagne, la France, et
l’Angleterre ainsi qu’en Amérique du Nord à savoir les Etats-Unis mais aussi au
pays du soleil levant c'est-à-dire le Japon.Selon une enquête que nous avons
faite, 80 % des e-commerçants visentà se développer en Asie pendant les 12 mois
qui viennent.
Les e-commerçants
français pensent avoir une énorme occasion d’avancer dans le marché. Toutefois,
il semblerait qu’il soit assez difficile de percer dans le secteur de
l’e-commerce en Asie, notamment en Chine.Jusqu’à maintenant, le marché de
l’e-commerce reste néanmoins primordial mais selon les décideurs de l’enquête, il
est quelque peu ardu de s’avancer dans ce secteur quoiqu’en Chine, le
gouvernement est en train de simplifier le commerce en ligne en privilégiant l’hébergement
de sites en dehors de la Chine.
La moitié des
personnes interviewées pensent que le respect des règlementations est le
problème principal.Il est perçu comme un réel défi pour divers secteurs
d’activité tels que la cosmétique, la nourriture et les boissons de comprendre
et d’appliquer ces règlements.Tousles services et marchandisesdes entreprises
doivent être déclarés avec les autorités locales et doivent aussi avoir des
approbations avant d’être vendus, surtout vu l’accroissement des régimes de
taxe. Mais aussi, il faut aussi
comprendre tous les marchés locaux pour 43 % des répondants ainsi que
les problèmes linguistiques pour 41 %.
Cependant, ce challenge
n’est pas spécifique à l’e-commerce tel que les paiements en ligne ainsi que
les règles transfrontaliers, et notre étude les dénonce.
Prenant comme
exemple la domination du marché en Chine par un grand nombre de moyens de
paiement locaux tels que Alipay et Tenpay, mais les paiements habituels comme
VISA, MASTER CARD ou bien AMEX ne sont pas très employés des clients chinois.Il
est alors nécessaire d’introduire ces modes de paiement particuliers dans les
plateformes de commerce en ligne, ainsi que de tirer profit des taux de changes
de devises, par exemple du renminbi (RMB) vers la monnaie du commerçant en
ligne.
39% des interviewésqualifient
les règles transfrontalièrescomme compliquées. Ainsi, nos décideurs supposent que
les sites de paiement sont les meilleures solutions pour réussir dans le
secteur.Pour 45%, la manière dont on cueille et transmet les flux financiers en
passant par les organismes spécialisés chinois, c’est-à-dire la correspondance
en ligne avec les consommateurs chinois est la cause principale de réussite
dans l’e-commerce. Pour 43%, cette correspondance est suivie par la gestion du
risque et de la lutte contre la fraude. Connaitre largement le marché local et
avoir de bons rapports avec les banques et les réseaux de paiement diminuent
davantage les risques de fraude.
Toutes ces
déductions, au début,ont amené les e-commerçants à choisir les galeries
commerciales en ligne telles que T-matt et Sahngpin pour travailler. Ces
dernières offrent toutes sortes de sites
de vente en ligne incluant les services de paiement. Les difficultés de
l’e-commerçant sont mieux apaisées par la présence de ces galeries. Néanmoins,
les problèmes qui se posent encore se font sur le lien avec la marque de son
entreprise, le degré de fidélité et la maîtrise de l’expérience-client. Tout
cela ne montre aucunement le meilleur moyen d’établir un bonéchange avec les
clients.
Les e-commerçants ont obligatoirement besoin de dominer leurs sites
respectifs pour renforcer leur marque sur le secteur du commerce en ligne, et
ont aussi besoin de dépendre sur des fournisseurs de solutions en ligne
concernant ce secteur et de solutions de paiement doté d’excellentes capacités
de chaque côté des frontières tel que la nouvelle Muraille de Chine.
Connaitre les
marchés locaux et les risques de vente ainsi qu’avoir de bonnes relations avec
les consommateurs locaux demeurent le meilleur moyen de rester dans la
compétition avec les concurrents locaux et de défendre sa marque.